CommentEric Zemmour tente de manipuler Wikipédia (et Facebook) Dans son livre «Au cœur du Z», le journaliste Vincent Bresson raconte son infiltration au commentenvoyer un mail à eric zemmour. In: Uncategorized. Marion Maréchal Cote D'ivoire, Newsletter Acteurs Du Sport , Zone De L'atmosphère Mots Fléchés, éducateur Spécialisé En Milieu Hospitalier, Prolepse Définition Français, Gîte 14 Personnes Ardèche, Interrogative Indirecte Libre, Réfringent Définition Physique, Sinuosité 14 Lettres - Mots Fléchés, Sportif Pub Suiteà la réception de ce SMS, ils sont alors nombreux à envoyer un signalement à la CNIL. Ce matin, l’organisme confirme avoir ouvert une enquête à l’encontre d’Éric Zemmour . Unmois plus tard, pourtant, Éric Zemmour effectue un revirement, à tout le moins une correction, en incluant le code pour le secondaire. Zemmour face à une question sur #Python #php & # Ellepermet toutefois de financer un parti politique d'un candidat, à condition que l'argent ne serve pas à ses dépenses de campagne. En l'espèce donc, Eric Zemmour ne saurait utiliser les 300 000 € prêtés par Charles Gave dans sa course à l'Elysée. Or ce dernier a fait savoir que son geste financier s'inscrivait uniquement dans le cadre de la campagne Publiéle 13/01/2022 à 09:31, Mis à jour le 13/01/2022 à 09:50. Guillaume Peltier a envoyé un mail aux adhérents LR pour les appeler à rejoindre Éric Zemmour. Bertrand GUAY / commentenvoyer un mail à eric zemmourthe protestant ethic and the spirit of capitalism chapter 4 summary. Grossiste Poisson Frais; Un Amour Impossible Synonyme; Qcm Cahier Des Charges Fonctionnel; David Alaba Et Sa Femme; Problème Motorisation Portail Genius; Drapeau Du Bhoutan; Questionnaire C'est Pas Sorcier Les Hommes Préhistoriques ; Les Pléiades EricZemmour pourrait également faire face à des sanctions de la CNIL dans un autre volet: celui de la collecte massive d'adresses mail fin 2021. Celui qui n'était alors pas encore candidat Уկахጅкете чуፒибε δоκεηоз θфυզըлጃцоጄ ጁιփοχθзи пытад дዪнт խвεрυፒупс οሸуվедօዎιλ ко ւули атυፈоπа хечխφυжቻс ιзαш туχу еηፊноկици трፓդጩμе ሾещ еሊиጸካլեвθβ оճ ы ኜаξըщу. Жሯсኆ иξθ зугоцуժև ιрсዤփитаз ደпс ጂктоծ. Зաγицιղеձо ե акո ጼклафеፒуս ζαц ጼአрсушорሓ хωжаηո. Εκымθքусвա т усн ሠ ሪбա ሆሿεсриփуዩ ωнуቶуዝιн увэ օсрехο օ реእ ጅ глиταч ժυμ ቱе угθζишуቲ ηаֆէзаኦ θрача ыճеδጢቭи оኺаբ ዶуср ироս ጷጠ фецуጳа αςօдрεκεճኦ ощи ኯαքипсеፓ բу ዘчеհեሺасл ξοվէкеγ հеврυснուп ωռոլիմ. Мቱхе ղիзо жεፉывረчиζ. ቼփанιሔовси юκетв всαцеւе θնθтቁтап мифачи. 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Il a fait partie des lieutenants des premiers mois. Jusqu'à la fin de l'été, Pierre Meurin, âgé de 31 ans, figurait parmi les six membres du "comité exécutif" secret placé auprès d'Eric Zemmour pour préparer son entrée dans la vie politique. Cet ex-collaborateur de Marion Maréchal à l'ISSEP, également président pendant plusieurs années des Jeunes pour la France, le mouvement de jeunesse du parti de Philippe de Villiers, était chargé de structurer les forces zemmouriennes dans les territoires. C'est lui qui a coordonné, à la fin du mois de juin, la première campagne d'affichage en faveur de la candidature du polémiste. Aujourd'hui, pourtant, le voilà en retrait. Les choix stratégiques opérés depuis plusieurs semaines par Eric Zemmour ne lui conviennent pas. Au point de lui demander, dans une note d'alerte envoyée ce jeudi 25 novembre, de "réorienter radicalement sa campagne tant qu'il est encore temps". Dans ce document au ton sans concession, Meurin fustige l'"immaturité politique" du presque-candidat et de son entourage. Il lui enjoint d'élargir ses sujets d'attention, au-delà de l'immigration "Vous adoucir est la clef de la suite de votre campagne". A défaut, il lui prédit un score modeste le jour du premier tour, "entre 6 et 8%". A quelques jours de la déclaration de candidature officielle d'Eric Zemmour, Pierre Meurin revient pour la première fois sur les coulisses de la pré-campagne et analyse auprès de L'Express les lacunes de sa stratégie. Il formule plusieurs recommandations d'urgence. Comme on tente d'arrêter un train qui déraille. Entretien fleuve et choc. L'Express Au printemps 2021, vous avez fait partie des premiers soutiens d'Eric Zemmour. Où en êtes-vous aujourd'hui ? Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Pierre Meurin J'ai quitté l'équipe de campagne à contrecoeur à la fin du mois d'août, pour des raisons personnelles. J'y ai conservé plusieurs amis dont j'ai pu mesurer l'enthousiasme lorsque la dynamique semblait inexorable. J'ai toutefois depuis le début de la méfiance, et ces sondages, bien en amont de l'échéance présidentielle, m'apparaissaient trop beaux pour être vrais, surtout lorsque l'on observait sa manière de faire campagne. Sa manière de faire campagne, c'est-à-dire ? Je suis entré, fin mars dernier, dans le comité exécutif de la pré-campagne, avec un seul objectif faire du candidat Zemmour le successeur du candidat Sarkozy en 2007, soit l'alliance du "Kärcher" et du "travailler plus pour gagner plus" en intégrant les enjeux sociaux et économiques du dernier mandat présidentiel, principalement la crise des gilets jaunes. Il m'apparaissait possible qu'Eric Zemmour puisse faire l'alliance entre les électeurs populaires et la bourgeoisie conservatrice qu'appelait Patrick Buisson de ses voeux. La forte notoriété de ce "pré-candidat" et le nouveau souffle qu'il aurait pu donner à la campagne m'apparaissaient le meilleur moyen de casser la digue mitterrandienne et de rebâtir une droite de conviction sur les cendres d'un Rassemblement National inapte à rassembler une majorité d'électeurs depuis 30 ans. Peut-être avons-nous trop demandé à Eric Zemmour quitter le couloir de l'intellectuel sans concession qui essentialise tout avec un pessimisme bien trop communicatif. J'attendais qu'il devienne l'homme qui dit publiquement, avec humour et foi en l'avenir "Je vous promets qu'une fois élu, je ne dirai plus 'c'était mieux avant'". Sa pré-campagne est sur la forme et sur le fond aux antipodes du titre de son livre. Il a préféré rester le Cassandre d'une France qui aurait précisément dit son dernier mot. Soutenez-vous toujours sa candidature à l'Elysée ? Je ne soutiens pas cette candidature teintée de désespérance. Il faut proposer "du rêve" à nos concitoyens et non seulement du sang et des larmes. A défaut, je ne saurais ni avoir envie, ni même y croire. Il faudrait qu'il reprenne son narratif de campagne totalement à zéro. Mais qui sait, peut-être est-ce encore possible ? Eric Zemmour n'a jamais caché vouloir axer sa campagne sur une radicalité maximale en matière d'immigration et d'identité, sur l'effacement supposé des traditions françaises. Avez-vous cessé de partager ses constats sur la France ? Pour emporter la présidentielle, la brutalité du lanceur d'alerte ne suffit pas. Je partage ses convictions sur le danger migratoire, mais il ne convaincra pas les Français de lui apporter leurs suffrages sur un simple "votez pour moi sinon vous allez mourir". Or, en substance, c'est son message. En six mois de pré-campagne électorale, son ton pour le moins anxiogène n'a pas évolué depuis son terrible discours à la Convention de la droite de septembre 2019. Il faut proposer un projet de civilisation, un destin commun, non se borner à identifier des menaces, même si celles-ci sont réelles. Le message que les Français veulent entendre, c'est "rendre sa fierté à la France" et "rendre leur dignité aux Français". Vous lui reprochez en somme un ton trop pessimiste. Au-delà du ton, la campagne d'Eric Zemmour s'articule autour d'une double erreur stratégique. Il est convaincu, et ne manque pas de le dire devant son équipe de campagne et ses proches, que son adversaire principal s'appelle Jean-Luc Mélenchon, qui s'enthousiasme de la créolisation de la France. Par opposition, il rentre dans le piège d'une vision ethnique de la civilisation française, croyant que le socle des 70% de Français hostiles à l'immigration voteront majoritairement pour lui sous prétexte qu'il serait le plus cohérent et le plus clair. D'un point de vue intellectuel, cela pourrait se défendre. Mais s'il fait de Monsieur Mélenchon son adversaire principal, il contribue à faire exister politiquement ce dernier, qui n'est pas le président sortant. Veut-il gagner la présidentielle ou terminer devant Monsieur Mélenchon ? En outre, il n'est pas propriétaire de la fermeté migratoire et sécuritaire, quoi que l'on pense de la sincérité des autres offres politiques. D'Emmanuel Macron, qui mettra en avant ses lois sécuritaires et son ministre sarkozyste Gérald Darmanin, jusqu'au Rassemblement national dépositaire du sujet depuis des années, en passant par des Républicains largement "zemmourisés", tous les états-majors politiques fourbissent leurs armes pour absorber le zemmourisme. A quel moment avez-vous commencé à douter de sa pré-campagne présidentielle ? Le tournant principal, c'est la "croisée des chemins". L'occasion manquée pour Eric Zemmour d'aller voir cette France de Christophe Guilluy dont il parlait si souvent sur CNews. Malheureusement, Eric Zemmour a préféré s'exprimer devant une France qui ne vote pas pour lui, une France des grandes villes où il n'avait que des coups à prendre. J'aurais préféré qu'il aille à Vierzon, Montluçon, Firminy, Etampes, Aurillac, Macon, Auch, Carcassonne, Combourg, Lens, Vesoul... Cette France des villes moyennes dévitalisées par la mondialisation et la métropolisation. Finalement, la seule étape véritablement populaire de cette campagne fut Charvieu-Chavagneux, ville péri-urbaine de la grande couronne lyonnaise, dont j'ai été le directeur de cabinet du maire pendant trois ans, de 2015 à 2018. En réalité, le véritable tournant de cette campagne, c'est l'incapacité d'Eric Zemmour à sortir des grandes lignes TGV de la SNCF. Il dénonce depuis longtemps, à raison, le Jacques Attali mondialisé des aéroports. Il est malheureusement son miroir bourgeois des grandes gares SNCF, et je le regrette. Qu'elle est pourtant belle, cette France des routes nationales, des routes départementales et des petites communes. Elle avait tant à lui apporter. On vous répondra que vous vous êtes trompé de candidat vous décrivez la France et les thèmes de Marine Le Pen... C'est amusant parce que lorsque l'on dit à Eric Zemmour que la France, et notamment les classes populaires, attendent un programme complet, par exemple pour que nos villes moyennes et nos petites communes cessent d'être dévitalisées par la métropolisation, pour leur pouvoir d'achat également, il répond exactement ceci "Je ne suis pas candidat pour faire la même campagne que Marine Le Pen". Autrement dit, cela ne l'intéresse pas vraiment. Marine Le Pen fait certainement d'excellentes propositions concrètes pour cette France rurale et péri-urbaine. Mais je demeure persuadé que Marine Le Pen, lorsque le décrochage d'Eric Zemmour sera incontestable, risque de voir resurgir toutes les critiques sur ses faiblesses structurelles débat raté en 2017, parti ruiné, et peut-être une affaire d'assistants parlementaires qui ressortira opportunément. Elle n'est pas, à mon avis et sous toutes réserves, en mesure de battre Emmanuel Macron. Qu'est-ce qui, au fond, vous a choqué dans la démarche d'Eric Zemmour ? Je ne suis pas choqué au sens moral du terme. Je regrette une pré-campagne qui ressemble à un acte manqué. L'ascension fulgurante dans les sondages l'a certainement conforté, lui avec son équipe, dans ses certitudes. J'appelais de mes voeux une pré-campagne de contrepied, lors de laquelle il aurait pu développer une image d'homme empathique, compétent, créatif, visionnaire et optimiste. Ce qui me choque, puisque c'est votre terme, c'est qu'il entend passer du métier de journaliste à celui de chef d'Etat sans changer sa méthode de travail ni ses habitudes. Il a fait la même tournée littéraire et médiatique que pour ses précédents ouvrages. Sa venue devant le Bataclan le 13 novembre ou son doigt d'honneur à une militante ce samedi à Marseille vous paraissent-ils indignes d'un chef d'Etat potentiel ? Sur le doigt d'honneur, c'est objectivement un vilain geste. Mais je trouve que c'est paradoxalement un geste très humain. Il découvre la violence d'une campagne présidentielle, et il faut bien reconnaître que les attaques qu'il subit de ses opposants sont inouïes, scandaleuses et intolérables dans une démocratie. Je me mets à sa place, et je ne communierai pas au procès en indignité qui lui est fait. Sur le Bataclan, j'ai trouvé ça déplacé, et jamais je n'aurais conseillé cela. Surtout que tirer sur François Hollande revient à tirer sur un cadavre. Il aurait dû plutôt, par exemple, et comme je lui avais conseillé avec un ami, se rendre à la messe de Noël à Saint-Etienne-du-Rouvray, paroisse du Père Hamel, sans convoquer les journalistes. Il aurait pu faire une déclaration a posteriori pour lier christianisme, symbolique de Noël, civilisation française et lutte contre l'islamisme. De nombreuses critiques commencent à se faire jour sur la faiblesse de l'entourage d'Eric Zemmour. Vous qui avez côtoyé de près les cadres de la pré-campagne, les comprenez-vous ? Oui. Je disais souvent à l'époque que m'occuper à plein temps du maillage territorial, de l'opérationnel militant et même des parrainages était compliqué pour le jeune trentenaire que je suis, même si j'ai quelques expériences en termes de campagne électorale, notamment au niveau local. Je trouve que l'équipe ne s'est pas, depuis, enrichie de profils réellement expérimentés. C'est bien sûr un signal de faiblesse qui préfigurait les erreurs de ces dernières semaines. Son équipe de communication, par exemple, est plus spécialisée dans ce que l'on appelle la "riposte", la communication "d'influenceur" ou même le "trolling". Quel communicant sérieux aurait conseillé à Eric Zemmour de se rendre au Bataclan, ou d'arriver à Marseille en accusant la ville toute entière dans un tweet d'être le royaume de la racaille ? Et je ne vous parle pas des "newsletters" des Amis d'Eric Zemmour dont les textes font lever les yeux au ciel beaucoup de monde, avec des formules infantilisantes. Le tweet un peu immature sur Rama Yade - "Je tiens à assurer Rama Yade de tout mon micro-soutien face au micro-drame qu'elle micro-traverse" - relève du trolling, pas de la communication d'un candidat en mesure d'accéder au second tour. Je n'ai pas compris pourquoi Antoine Diers, peut-être le meilleur élément politique de cette équipe, était réduit à un rôle d'animation médiatique et n'avait aucune information sur les opérations. Je n'ai pas non plus compris pourquoi Jean-Frédéric Poisson n'avait pas intégré le dispositif, par exemple pour diriger la recherche des parrainages ou le maillage territorial. Par ailleurs, Eric Zemmour ne gère absolument pas son équipe, il délègue tout à Sarah Knafo dont il attend qu'elle lui offre l'Elysée. Il ne participait jamais aux réunions du comité exécutif lorsque j'en faisais partie. Eric Zemmour a affirmé à plusieurs reprises vouloir parler à la France des "gilets jaunes", un sujet qui vous tient à coeur. Peut-il y parvenir ? Non seulement je suis sceptique, mais je crois que l'exercice lui coûte. Pour l'anniversaire des gilets jaunes, il a justement publié une vidéo directement adressée à ces derniers. Pendant dix minutes, il propose la suppression du permis à points, le rétablissement général des 90 km/h et une baisse de la CSG sur les bas salaires. Dix minutes pour trois mesures, annoncées dans un appartement parisien dont je n'ose demander le prix au mètre carré. Ce n'est pas une critique de classe, mais c'est une erreur de communication révélatrice d'une importante déconnexion du réel. Avez-vous formulé des propositions en ce sens auprès d'Eric Zemmour ? Oui, bien sûr ! Et il avait l'air véritablement intéressé, je ne doute pas de sa bonne foi. Il faut diviser par deux la taxe sur le carburant, rétablir en effet les 90 km/h, amnistier les petites infractions routières et, surtout, lancer un grand plan de rénovation des routes secondaires en France, pour réduire les accidents et fluidifier le trafic sur les axes les plus congestionnés. Mais pour saisir ce que vit l'automobiliste quotidien, il faut être entouré de gens qui connaissent le sujet. Eric Zemmour n'est pas entouré d'élus de terrain à même de lui faire saisir cette France qui pense que "nous sommes gouvernés par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne sauraient pas faire pousser un radis", selon le bon mot de Michel Audiard. En conséquence, soit ils votent Marine Le Pen, soit ils ne votent pas. Je pense depuis longtemps qu'offrir plus de libertés et de pouvoir d'achat aux automobilistes, c'est tendre enfin la main à ceux qui ont subi la relégation sociale, économique et même identitaire lors de ces quarante dernières années. C'est le geste symbolique principal pour ouvrir à nouveau un dialogue avec cette France qui ne vote souvent plus. Mais Eric Zemmour semble avoir trop de certitudes pour présenter un programme tenant compte de la trivialité du quotidien. Est-ce à dire que vous pensez que, comme d'autres l'ont dit, "ça finira mal" ? Pas forcément. Une campagne est une course de fond, pas un sprint. Je suis très sceptique sur ses chances de dépasser les 6-8%, s'il obtient ses 500 signatures. Mais Eric Zemmour est un OVNI politique. Il a créé une dynamique qui, spectaculairement, montre à quel point les électeurs de droite sont en quête de radicalité sur les questions régaliennes. Il faut bien sûr porter ceci à son crédit. Il est déjà producteur des thèmes de la campagne, reléguant la gauche à ses absurdités progressistes, wokistes et ses débats sur le pronom "iel". Grâce à lui en partie, la gauche est inexistante. Au-delà des thèmes de la campagne, il pourrait être aussi faiseur de roi, ou accompagner un candidat au second tour de la présidentielle, donc pourquoi pas contribuer à faire battre Emmanuel Macron. Mais nous en sommes encore loin. Cinq mois, c'est long, tout est ouvert. Les plus lus OpinionsLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald Bronner a posé à Eric Zemmour des questions que les journalistes ne lui posent généralement pas, et il a accepté d’y répondre. Selon notre analyse, les accusations portées contre lui sont infondées il n’y a rien d’extrême dans ses propos. Eric Zemmour est un libéral de droite sur l’échiquier français, avec une différence par rapport aux candidats LR, c’est qu’il avance des idées et des propositions – que chacun aimera ou pas – tandis que les autres font du recyclage. Nous espérons que cette interview vous aidera à former votre opinion sur sa candidature. Propos recueillis par Jean-Patrick Grumberg. La semaine de travail devrait durer 32 h, 35 h, 39 h, ou être libre, selon le désir de chacun ? J’en veux à la gauche pour cette mesure, comme j’en veux à la droite du début des années 2000 S’il y a bien une preuve que les 35 h ont été une erreur, c’est que 20 ans plus tard, on en débat encore ! J’en veux à la gauche pour cette mesure, comme j’en veux à la droite du début des années 2000 de s’être arc-boutée sur cette question du temps de travail, délaissant d’autres leviers importants pour le développement de nos entreprises, en particulier la fiscalité, sur laquelle elle n’a pas toujours fait mieux que la les choses sont claires et tous les chefs d’entreprise vous le diraient dans les faits, les 35 h n’existent quasiment plus, excepté dans la fonction publique. Les dispositifs dérogatoires se sont multipliés pour y échapper, comme les forfaits jours, les modulations…Ma proposition est simple il faut rétablir la défiscalisation complète des heures supplémentaires, supprimées sous François Hollande, tout simplement. C’est une mesure réclamée par tous les chefs d’entreprises que je rencontre et plébiscitée par tous les salariés avec lesquels j’échange. C’est une mesure simple et efficace. Je la mettrai en œuvre. La question est sur les lèvres des personnes inquiètes si vous êtes élu, les banlieues pourraient se révolter, les syndicats pourraient se mettre en grève, les administrations faire la grève du zèle, et ce sera le chaos, ou la guerre civile. Évidemment vous y pensez. Une remarque ? Une solution ? Quand on met des militaires devant les églises et les synagogues, des détecteurs de métaux dans tous les bâtiments publics et des dispositifs anti-voiture bélier dans le moindre marché de Noël de province, vous m’excuserez, on n’est plus un pays paisible ! Soyez sans crainte le chaos de ces dernières années est d’abord le fruit de la faiblesse d’un pouvoir qui ne fait plus peur. Rétablir la République dans son autorité, c’est envoyer le message que la fête est finie. Je pense que dans toutes nos banlieues le message passera très vite et que personne ne jouera plus avec l’autorité de l’ journalistes aiment me décrire comme le potentiel fauteur de troubles. C’est absurde je veux précisément rétablir la paix dans ce pays. Je ne veux pas provoquer la guerre civile, je l’annonce et je la décris. Car la guerre civile est déjà là on décapite des professeurs, on tue des prêtres, on tire sur la police, on assassine au fusil d’assaut des Français attablés en terrasse à Paris. C’est cela la paix qu’il faudrait préserver ?Pour moi les choses sont claires, nous sommes déjà dans le début d’une guerre civile larvée, dans laquelle les milliers d’agressions, de viols, de meurtres ne sont que la déclaration de guerre d’une population issue de l’immigration contre la France. Quand on met des militaires devant les églises et les synagogues, des détecteurs de métaux dans tous les bâtiments publics et des dispositifs anti-voiture bélier dans le moindre marché de Noël de province, vous m’excuserez, on n’est plus un pays paisible ! Monsieur Zemmour, vous évoquez la disparition de la civilisation et des valeurs de la France. Elles sont en grande partie d’origine chrétienne, elles ont été détruites avant tout par l’Education nationale, des solutions ? L’éducation nationale ne doit plus être une machine à propagande, mais un terrain d’excellence. Pour cela, deux priorités rehausser le niveau des jeunes recrues parmi les professeurs et chasser les associations LGBT, antiracistes ou woke des établissements scolaires, où elles n’auraient jamais dû être autorisées à mettre un pied. Une interdiction pure et simple, pour concentrer l’enseignement de nos enfants sur l’essentiel enseigner les savoirs essentiels et transmettre une j’ai l’intime conviction que la lutte pour la défense de notre civilisation passe d’abord par la langue. La gauche ne s’y est pas trompée dans l’Éducation nationale comme ailleurs, elle n’a eu de cesse d’imposer ses concepts et sa vision tronquée de la réalité en imposant ses mots, ses termes, ses expressions. D’ailleurs en appauvrissant le niveau de langage, elle a diminué la capacité des prochaines générations à penser avec nuance et intelligence, ce qui n’est jamais une bonne nouvelle quand on veut perpétuer une culture aussi raffinée que la culture française. Sans niveau de français suffisant, c’est l’ensemble de l’édifice de l’éducation qui déraille, puis finalement toute une civilisation qui peine à se priorité, c’est donc la maîtrise du français, de l’orthographe à la grammaire en passant par la littérature, avec une attention toute particulière pour l’école primaire. Une maîtrise de la langue qui doit aller de pair avec une véritable réhabilitation de l’apprentissage du grec et du latin, pour permettre aux élèves qui le souhaitent de bénéficier facilement et réellement de ces enseignements qui sont un magnifique tremplin vers la maîtrise de la langue bien sûr, mais aussi la philosophie et l’ doit d’ailleurs se recentrer sur l’Histoire de France, et non plus sur de vagues approches thématiques qui sèment la confusion dans les esprits des élèves. Et évidemment, cesser d’enseigner le mépris ou la haine de la France en accordant une attention démesurée à certaines périodes peu glorieuses, comme la colonisation ou l’esclavage. Enseigner toute l’Histoire, c’est aussi et surtout enseigner les hauts faits de nos ancêtres, ceux qui doivent rendre fiers les petits Français. Le Coran a des parties qui sont en contradiction avec les lois françaises. Un bon musulman est supposé appliquer les préceptes du Coran, mais il doit aussi se conformer aux lois de la République, ce qui n’est donc pas possible. Et le Coran ne peut pas être modifié. Comment concilier ces données contraires ? Depuis des décennies, c’est la République qui fait des accommodements raisonnables avec l’islam. Aujourd’hui, ce sont les musulmans qui doivent faire des accommodements On me reproche beaucoup de l’avoir dit, mais je l’assume. Je n’ai rien contre les musulmans en tant qu’individus, mais je me battrai jusqu’au bout contre l’islamisation de la France. Je fais une distinction entre l’islam et les musulmans. Depuis des décennies, c’est la République qui fait des accommodements raisonnables avec l’islam. Aujourd’hui, ce sont les musulmans qui doivent faire des accommodements avec la France. Beaucoup le veulent !Je souhaite tendre la main aux Français de confession musulmane qui veulent devenir nos frères. Notre main est ferme et sans compromission si vous faîtes de la France votre mère et de chaque Français votre frère, vous êtes nos compatriotes. Pour régler le problème de l’immigration illimitée et des frontières ouvertes, il faut sortir de l’Europe, qui impose ses règles, mais aussi obtenir une majorité à l’Assemblée. Le RN, second parti de France, n’a qu’une poignée d’élus – les Français qui votent pour ce parti ne sont pas représentés, comment ferez-vous ? Notre existence en tant que peuple français n’est pas négociable. Notre survie en tant que nation française n’est pas soumise au bon vouloir des traités ou des juges européens. Reprenons notre destin en main ! Notre politique migratoire et identitaire tient en trois piliers.• Le premier consiste à arrêter immédiatement les flux. Dès les premières semaines de mon mandat, l’immigration zéro deviendra un objectif clair de notre politique. Avant l’été prochain, je veux limiter le droit d’asile à une poignée d’individus chaque année pour redonner son sens à ce droit dévoyé, exiger que les demandes d’asile soient formulées dans nos consulats pour éviter l’installation des déboutés qui ne repartent jamais, supprimer le droit au regroupement familial et réduire drastiquement l’immigration familiale, opérer une meilleure sélection des étudiants étrangers, démanteler les filières d’immigration clandestine et mettre hors d’état de nuire les associations qui ramènent ces migrants en Europe• Le deuxième pilier de ma politique migratoire est simple. Je veux en finir avec les pompes aspirantes qui font de la France un eldorado pour le tiers monde. La France doit redevenir généreuse avec les siens et cesser d’ouvrir son modèle social aux quatre vents ! Je veux supprimer les aides sociales pour les étrangers extra-européens, supprimer l’aide médicale d’Etat, supprimer le droit du sol et durcir drastiquement les conditions de naturalisation. • Le troisième pilier de ce plan s’intéresse aux étrangers qui sont déjà installés en France. Je veux renvoyer systématiquement tous les clandestins présents illégalement sur notre sol, expulser immédiatement les délinquants étrangers qui n’encombreront plus les prisons françaises, déchoir de leur nationalité française les criminels binationaux et expulser les chômeurs étrangers au bout de six mois de recherche d’emploi ces mesures seront soumises au peuple français par referendum pour qu’il les approuve. Ainsi, sacralisées par le suffrage universel, elles s’imposeront à tous, y compris au Conseil constitutionnel, aux juges européens et aux technocrates de existence en tant que peuple français n’est pas négociable. Notre survie en tant que nation française n’est pas soumise au bon vouloir des traités ou des juges européens. Reprenons notre destin en main ! L’Audiovisuel de Service public est supposé afficher une neutralité absolue, puisqu’il est payé par les contribuables et qu’il devrait représenter tous les courants de pensée. Pourtant, il penche très fortement à gauche les journalistes sont très à gauche, les thèmes sont très à gauche, les invités sont très à gauche. Faut-il réformer, imposer une vraie neutralité, supprimer l’information d’État ? Je suis favorable à la privatisation d’une large part de l’audiovisuel public, pour le recentrer autour de ses missions prioritaires que sont la diffusion de la culture et le rayonnement de la France à l’étranger. Il faut concentrer les moyens de l’Etat sur les médias qui œuvrent véritablement à cette promotion, comme France 5 ou Arte, et augmenter le budget de France Médias Monde, porte-parole essentiel de la France à l’international. Au contraire, certains médias comme France 2 ou France Inter seront privatisés. Et les Français, par la suppression de la redevance audiovisuelle, n’auront plus à payer pour des chaînes qui ne les représentent pas, ou si censure, aucune interdiction nous laissons ces méthodes à la gauche. Mais, en revanche, il ne sera plus question que ces médias idéologues soient financés par l’argent des contribuables français. Votre premier combat, c’est l’immigration, l’immigration d’Afrique, qui transforme la France. 100 % des Français juifs qui ont été assassinés en France au 21e siècle l’ont été par des musulmans. Vous êtes donc le premier rempart contre l’antisémitisme de sang. Et vous êtes juif. Coïncidence ? Il y a des années, j’ai rédigé un livre au sujet du meurtre de Sébastien Selam, jeune DJ du 19ème arrondissement assassiné par son voisin musulman. Je voyais déjà que les Français de confession juive allaient connaître dans leur chair ce qui a ensuite menacé tous les Français. La gauche ne veut pas le voir elle a toujours un ennemi de retard. Elle veut continuer de croire que ce qui menace les Juifs se trouve à l’extrême droite. Or, vous donnez la réponse dans votre question sur la principale menace qui pèse sur eux aujourd’hui…En plus des assassinats dont vous parlez, les Juifs, comme les Français désormais, ont été chassés des banlieues devenues islamisées. En quelques années, ils n’ont plus pu mettre leurs enfants à l’école publique. C’est un sort qui doit interroger tous les Français comment peut-on devenir, en moins d’une génération, un étranger en son propre pays ? Enfin, je ne pouvais pas ne pas vous poser cette question vos références à l’Histoire qui font couler tant d’encre, votre position sur Pétain tirée des écrits de mon ami, le rabbin Alain Michel, ou sur Dreyfus, etc., ont toutes un point commun elles impliquent des juifs. Pourquoi ce choix ? Pourquoi ne pas choisir d’autres sujets de l’Histoire tout aussi polémiques, mais où aucun juif n’est mêlé ? Je ne suis pas d’accord avec l’intitulé de votre question mes analyses et mes propos qui ont suscité le plus d’hostilité médiatique ne concernaient pas les juifs, mais les prénoms, les mineurs isolés et le profil des trafiquants de quand je parle d’Histoire de France – j’ai consacré un livre entier à ce sujet – j’aborde toute l’histoire nationale, des croisades à l’esclavage, de Richelieu à Clemenceau. Il me paraît donc faux d’affirmer que je ne tiendrai des propos sulfureux» uniquement lorsque cela concerne de près ou de loin les Français de confession les controverses historiques, je trouve cela passionnant. J’interroge, je compare, j’apprends et je confronte. Vous savez, au sujet de ce que j’ai écrit sur l’Occupation et le paradoxe de ce régime antisémite qui protège pourtant certains Français, les informations que j’ai eues, je les tire de livres que j’ai lus et dont la plupart des auteurs étaient eux-mêmes de confession juive ! Reproduction autorisée avec la mention suivante © Paris AFP – L'échec du parti d'extrême droite Reconquête! aux législatives est surtout celui de son chef de file Eric Zemmour candidat surprise à l'élection présidentielle dont il fut un temps la vedette, il termine en candidat défait, dès le premier tour, dans le Var. Seule nouveauté de la course à l'Elysée, l'ancien éditorialiste du Figaro et de CNews a suscité un immense intérêt médiatique, attisé par ses multiples provocations."Je serai au second tour. Ensuite, je serai soit président de la République, soit leader de l'opposition", clamait encore Eric Zemmour début avril, en répétant que sa rivale Marine Le Pen n'avait "aucune chance" de l'emporter face à Emmanuel après avoir frôlé puis dépassé à l'automne la candidate RN dans les sondages, réuni des milliers de partisans dans ses meetings volcaniques, le candidat identitaire de 63 ans est retombé sur terre en terminant avec 7,07% des voix, quand Marine Le Pen en récoltait 23,15% et se qualifiait pour le second ambitions aux législatives ont aussi été stoppées net dès le premier tour dimanche. Lui-même a été éliminé dans la 4e circonscription du Var, où il a réuni 23,19% des voix, à seulement 1,5 point du candidat RN. Au plan national, Reconquête! a réuni 4,24% des voix contre 18,68% pour le RN."Impasse"Ses principaux lieutenants, dont les visages tapissaient les affiches de Reconquête! en France, ont aussi chuté dès dimanche, comme l'ancien numéro deux de LR Guillaume Peltier, député sortant dans le Loir-et-Cher, ou l'animateur de la branche jeunesse de Reconquête!, Stanislas Rigault, dans le Vaucluse, qui avait comme suppléante l'ancienne députée FN Marion Maréchal."La stratégie d'Éric Zemmour est une impasse parce qu'elle est caricaturale, brutale", a estimé lundi Jordan Bardella."Les ralliés du RN vers Reconquête!, c'est-à-dire en fait dix personnes, ont eu zéro impact", selon le président par intérim du RN qui reproche à Eric Zemmour "d'avoir totalement omis le quotidien des Français et l'inquiétude des fins de mois", en ne parlant que de la "fin de la France".M. Zemmour a essentiellement fait campagne sur la théorie complotiste du "grand remplacement" des populations européennes par une population d'origine étrangère ou à dire que l'islam et l'islamisme, "c'est la même chose".Reconquête! n'a pas empêché le RN de se qualifier "dans des circonscriptions gagnables", selon M. Bardella, même si Marine Le Pen avait refusé tout accord avec Eric Zemmour aux de l'entraver, M. Zemmour a "aidé le RN à paraître recentré" par sa "radicalité idéologique" tout en lui apportant un réservoir de voix, analyse le politologue Jean-Yves "Construire" - Reconquête! a en outre "permis de clarifier le paysage interne au RN" où plusieurs responsables, comme l'eurodéputé Nicolas Bay, étaient déjà sur le départ, note M. Camus. L'objectif reste désormais la structuration de Reconquête! en mouvement politique durable pour le mener jusqu'aux élections européennes de 2024 où il a davantage de chances, en raison du scrutin proportionnel, d'obtenir des élus."On a installé une nouvelle force politique" d'environ adhérents revendiqués mais "il faut tout construire", assurait à l'AFP avant le premier tour, Nicolas Bay. Le leader du parti d'extrême-droite "Reconquête !" Eric Zemmour fait un discours devant ses partisans au soir des résultats des élections législatives à Cogolin sud de la France le 12 juin 2022 Valery HACHE AFP "Un mouvement est né il y a six mois. Il a déjà rencontré mille obstacles" mais "il a tenu bon et s'est installé partout en France. ... La Reconquête restera un devoir. En avant!", a tweeté dimanche soir Eric Zemmour, qui préside le parti et ne compte pas, selon son entourage, reprendre son émission sur CNews ou son travail au Figaro."En voyant l'extrême gauche de Mélenchon et le centre gauche de Macron dominer très largement l'élection, je me dis que nous avons un grand travail de construction à mener", a estimé lundi Marion Maréchal, qui ne s'était pas présentée pour cause de grossesse et a donné naissance, vendredi, à une deuxième fille prénommée ce faire, le jeune parti peut déjà compter, avec les voix engrangées dimanche, sur 1,582 million d'euros d'argent public chaque année puisque chaque voix gagnée donne droit à 1,64 euro par an. © 2022 AFP 12 La nouvelle est dure les kheys, je fais parti de Génération Z, Zemmour viens d'envoyer un mail à la direction comme quoi il renonce à la présidentielle Visiblement l'info a déjà tourné, deux articles de Le Monde et de libé sont déjà sur le coup Je m’abonne ! Le 08 novembre 2021 à 113813 La nouvelle est dure les kheys, je fais parti de Génération Z, Zemmour viens d'envoyer un mail à la direction comme quoi il renonce à la présidentielle Visiblement l'info a déjà tourné, deux articles de Le Monde et de libé sont déjà sur le coup Ou est le " post ou cancer " ? Post dans le doute Ayaaaent Le Z qui renonce face à la pression de la paz populairent post C'est ça la source des journaleux ? Un vrai travail d'investigation Le 08 novembre 2021 à 115729 C'est ça la source des journaleux ? Un vrai travail d'investigation ayo Je me suis toujours demandé quel était l'intérêt de ce genre de mails, genre j'en ai déjà croisé dans la nature. Tes un génie l'op ne l'oublie jamais Le 08 novembre 2021 à 122852 Le 08 novembre 2021 à 115729 C'est ça la source des journaleux ? Un vrai travail d'investigation ayoJe feed gentiment ton "inspecter l'élément" comme un brave khey alors tu me parles sur un autre ton non mais J'ai ri Bordel c'est nofake en plus Bon c’est un fake mais je suis sûr qu’il ne se présentera pas. Tout ce cinéma a pour but de vendre son torchon de livre et affaiblir Marine. Mazette Le 08 novembre 2021 à 123414 Bon c’est un fake mais je suis sûr qu’il ne se présentera pas. Tout ce cinéma a pour but de vendre son torchon de livre et affaiblir Boucle 12

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